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Gerardo Di Giusto Piano Solo

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New: DVD “Live à l'Héliotrope”

 (label La Grange à Sons)

Gerardo Di Giusto nous offre un concert basé sur ses deux  travaux discographiques, Piano Solo et Imaginario, dans lesquels il développe avec virtuosité ses compositions en se focalisant sur l’improvisation. En partant d'un ancrage dans la musique argentine, Di Giusto s’envole vers les frontières du jazz et de la musique classique pour transgresser les styles en allant vers une dimension plus universelle.

Le Monde de la Musique a dit que « il change ostensiblement la perspective de la musique argentine actuelle ».

Presse
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Mais c'est bien ainsi, lorsqu'il se concentre sur son clavier, que son goût pour les mélodies nuancées, lumineuses, fragiles, non dénuées de fantaisie, s'épanouit le plus radicalement.       Eliane Azoulay  2011

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cet exercice de piano solo montre son excellence dans la mélodie, d'une retenue et pudeur impressionnistes ou virevoltante avec une belle vivacité

Compositeur et interprète de luxe, c'est dans ses solos de piano que Gerardo diGiusto excelle.Son interprétation est une véritable bouffée d'oxygène,un moment de paix avec soi .

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2006 CD "Piano Solo"

2011 CD "Imaginario"

2015 DVD "Live à l'Héliotrope"

Le pianiste compositeur argentin Gerardo Di Giusto est né le 30 janvier 1961 à Córdoba en Argentine. Après avoir fait des études d’ingénieur et celles de la section piano du conservatoire régional de Córdoba, il s'installe à Paris pour suivre les cours d’écriture musicale du Conservatoire Régional de Saint Maure, ainsi que de piano et arrangements au C.I.M. (Ecole du jazz de Paris) avec Laurent Cugny (1985 à 1988). Pendant quelques années, il travaille comme arrangeur et pianiste avec de prestigieux artistes tels que Julien Loureau, Magic Malic, Mercedes Sosa, Amelita Baltar (chanteuse d’Astor Piazzolla), Orlando Poleo, Paris Jazz Big-Band, Juan José Mosalini, et d'autres. Il suit ensuite les cours de Direction d’Orchestre à l’école Normale de Musique de Paris (1994-98) sous la maîtrise de Dominique Rouits, et obtient le Diplôme Supérieur de Direction.

A partir de 1998 il aborde une écriture academique ancrée dans ses racines argentine. Des œuvres telles que « El Arcángel », oratorio avec de textes de Luis Rigou pour chœur et trio soliste qui sera représenté dans une quinzaine de villes (Théâtre d’Agen, Théâtre Odyssud, Théâtre de Villeneuve sur Lot, etc.) ou comme « Música Argentina para Cuerdas », qu'il compose pour orchestre à cordes et qui intègrera le répertoire de l’Orchestre de Chambre de la Province de Córdoba en Argentine, celui de "Camerata Romeu" (Cuba) qui l'interprète en tournée en Europe, et celui de l'Orchestre Dionysos (Paris).
En 2001, il compose une « Suite Concertante pour Piano et Orchestre à Vents » dans le cadre d'une commande d'Etat pour la "Musique de l'Air", oeuvre qui sera représentée dans quelques salles prestigieuses, dont l'amphithéâtre de la Sorbonne, et dont l'album sortira en 2002. Simultanément, Gerardo Di Giusto multiplie rencontres et collaborations et s'investit dans plusieurs projets qui lui permettent d'approfondir sa recherche d'une musique qui, à partir d'un ancrage dans la musique argentine, se déploie à la lisière du jazz et du classique pour mieux transcender les styles et tendre vers une dimension universelle


C'est dans cet esprit qu'il mûrit son projet le plus original et personnel - Camerata Ambigua, quintette à cordes et piano, sans aucun doute la démonstration la plus éclatante et aboutie de sa démarche artistique. Ce travail d'écriture donne naissance fin 2004 à un premier album dont « Le Monde de la Musique » dira qu'il « change ostensiblement la perspective de la musique argentine actuelle ». 

Gerardo Di Giusto mène parallèlement sa quête aux confins du jazz avec Córdoba Reunion, une formation qu'il fonde avec trois autres musiciens originaire de Córdoba, Javier Girotto (sax), Minino Garaÿ (perc) et Carlos "El Tero" Buschini (basse). De cette rencontre exceptionnelle naît « Argentina Jazz », un album chez Cristal Records.

Toujours dans cette même perspective d'enracinement dans la musique argentine, et de mélange de jazz et de classique naît en 2003 « Gaïa Cuatro », une nouvelle formation faite de la rencontre inattendue de deux musiciens japonais Aska Kaneko (violon) et Tomohiro Yahiro (perc), et à laquelle se joint Carlos "El Tero" Buschini (basse). Depuis 2004 Gaia Cuatro se produit chaque année au Japon et en Europe. « Gaïa », leur premier album en 2004, suivi de « Udin » en 2006.

Ses œuvres sont interprétées et enregistrées par des prestigieuses formations telles que Camerata Romeu (Cuba), Orchestre de Chambre Municipal de Cordoba (Argentine), Quatuor Diastema( France), Cuarteto Atlantico (Canaries), Musique de l’Air (France) etc…

Di Giusto se présente régulièrement en tant que soliste de ses oeuvres, il a joué avec les orchestres:

Orchestre Symphonique de Bahia Blanca


Orchestre à Vents de L’Armée de l’Air de France

Orchestre à Vents de l’Electricité de Strasbourg

Orchestre à Vents d’Angers

Orchestre à Vents de Córdoba

Orchestre à Vents de de la SNCF de France

Orchestre de Chambre Municipal de Córdoba

Orchestre de Chambre de la Universidad Catolica de Salta

Orchestre de Chambre Dionysos de France

Orchestre des Pays de Valois de Francia 

Aska Strings de Japon

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